Jolie apparition lunaire: le Ian Curtis de mon lycée (de 12 ans plus vieux que cette idole rock suicidée à 23 ans).
Il trimballe toujours le charme glamour d'un post-ado dégingandé, après deux cafés et une sieste sur l'herbe brûlée du parc, je pense que cette fois je ne me laisserai pas surprendre.
Trop de noir, de tiraillements inquiets à la chaîne, une surdose de romantisme.
Je dis stop à mes démons teen-age, je n'ai malheureusement plus l'âge des brûlures de cigarettes.
(mais le soir venu j'y pense, il est si magnifiquement sombre...)
3 commentaires:
t'es amoureuse ...
non, plus, j'évite les (bruns) ténébreux que j'aimais à mes 18 ans...
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